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Le petit village de Charly, sur la commune d'Andilly, entre Saint-Julien-en-Genevois et Annecy. Sur la gauche, les contreforts du Salève. On peut voir, à l'arrière-plan et à droite, la sortie sud du tunnel de l'autoroute A41 nord, dernièrement ouverte, en contrebas du village de Jussy. Plus loin, les premières maisons et immeubles de Cruseilles avec, au dernier plan, les montagnes dominant Annecy. Photo prise le 4 avril 2009. © Photo: Laurent Francini
Le bassin lémanique vu depuis Les Crêts, au Salève. On peut apercevoir la rade de Genève (jet d'eau fermé!), les bâtiments du Palais des Nations, et au fond le Jura. Photo prise le 23 juin 2008. © Photo: Laurent Francini
Le lac Genin, au-dessus de Charix, dans le Jura. Ce très joli petit lac abrite de nombreuses espèces botaniques comme le Ményanthe à trois feuilles, le nénuphar jaune ou encore la pédiculaire des marais. Situé à 850 mètres d'altitude, le lac Genin s'étend sur plus de 8 hectares au milieu de la forêt. Il s'alimente par sources submergées et s'évacue par perte dans le massif calcaire. Sa profondeur est de 18 mètres. Le site est également très connu des plongeurs. Malheureusement victime de sa beauté, ce site est envahi de promeneurs et de pique-niqueurs tous les week-ends. On y voit même, navrante pratique, des motos tout-terrain et des quads... Photo prise le 14 juin 2009. © Photo: Laurent Francini
LA TOUR DES PITONS (TOUR BASTIAN) La célèbre tour des Pitons (ou tour Bastian) fut érigée entre 1820 et 1830 par Claude-François Bastian (1764-1838), notaire et maire de Frangy, alors propriétaire de l'alpage du Petit-Pomier. La tour constitue le point culminant du Salève sur la commune de Beaumont, soit 1379 m. Elle reposerait sur un premier poste de guet datant du XIVe siècle, édifié sur le plus beau lapiaz du Salève, sur le plateau sommital au bord de la falaise. Elle servait de belvédère et offrait la vue au-dessus du rideau d'arbres. La rénovation de cette tour, que je trouve sujette à discussion, aurait pu être menée avec plus de discernement et moins de béton... Photo prise le 14 juillet 2009. © Photo: Laurent Francini
PRÉSILLY Cette petite commune rurale compte actuellement environ 600 habitants. Située au pied du mont Sion (786 m), elle compte sur son territoire quelques bâtiments anciens fort bien rénovés, comme par exemple la Chartreuse de Pomier, fondée en 1170, ou la Maison du Salève située dans l'ancienne ferme de Mikerne, datant de 1733 et rénovée en 2006. Sous la colline, à gauche, passe désormais en tunnel la controversée autoroute A41 nord, attendue par la population locale transfrontalière pendant plus de 25 ans... Photo prise le 7 mai 2009 depuis la Chartreuse de Pomier. © Photo: Laurent Francini
Le télécabine de la Flégère, au-dessus de Chamonix. En quelques minutes, vous atteignez l'altitude de 1877 mètres. D'ici, on peut suivre un sentier qui mène aux lacs de Chéserys et au lac Blanc. Un panorama magnifique et grandiose sur le Mont-Blanc, les Drus, l'Aiguille du Midi, l'Aiguille et le glacier d'Argentières, les Grandes Jorasses... Des noms mythiques! Photo prise le 30 juillet 2009 au départ du sentier du lac Blanc. © Photo: Laurent Francini
Un des lacs de Chéserys, auquel on accède entre autres par un sentier qui part de la Flégère au-dessus de Chamonix. Ces lacs sont d'origine glaciaire. Ils portent le nom de l'ancien alpage situé 200 mètres en dessous et qui vient des «Chésières», chalets où l'on fabriquait le fromage. Trois autres lacs constituent l'ensemble des lacs de Chéserys. Il y règne un calme bien agréable que les bouquetins, peu farouches, semblent apprécier et qui contraste avec la surfréquentation du lac Blanc au-dessus. Photo prise le 30 juillet 2009. © Photo: Laurent Francini
Le Mont-Blanc vu depuis les environs du col de la Croix-Fry. Si vous empruntez le sentier qui mène au col de Merdassier, vous aurez des points de vue époustouflants sur la Tournette, la montagne de Sulens, la pointe de Merdassier et le célèbre Mont-Blanc qui, pourtant emblématique et hyper-connu des Hauts-Savoyards, offre toujours une vue majestueuse quel que soit l'endroit où l'on se trouve. Photo prise le 4 août 2009. © Photo: Laurent Francini
La pointe de Merdassier (2313 m) vue du col du même nom (un peu en contrebas, en redescendant sur le col de la Croix-Fry). Cette pointe fait partie du massif des Aravis, un des nombreux domaines skiables accessibles depuis la Clusaz. Photo prise le 4 août 2009, sur le sentier forestier qui redescend de l'Etale. © Photo: Laurent Francini
Le lac des Confins, d'origine glaciaire, se trouve au dessus de la station de La Clusaz, à une altitude de 1450 m. Il se situe au pied de la chaîne des Aravis. Au loin, on peut apercevoir la Pointe Percée. Tous les ans, à la fin de la saison de ski, s'y déroule une descente un peu folle, le «Défi Foly». Les skieurs partent d'une pente enneigée et terminent dans le lac, l'objectif étant de parcourir la plus longue distance sur le lac. Toutes sortes d'embarcations y participent également (source du texte Wikipedia). Photo prise le 15 août 2009. © Photo: Laurent Francini
Le bassin lémanique vu depuis la tour Bastian (dite «tour des Pitons») au Salève (1379 m). C'est d'ici que l'on aperçoit peut-être le mieux la longueur du lac Léman (et non lac de Genève!). On distingue fort bien le jet d'eau de Genève et, tout à l'arrière-plan, dans le flou du ciel, le Jura. Photo prise le 17 juillet 2009. © Photo: Laurent Francini
Le lac d'Annecy depuis le site de départ des parapentes de Planfait, direction le col de la Forclaz. On peut voir la ville d'Annecy au fond, et à l'arrière-plan à droite la montagne de la Balme-de-Sillingy. Photo prise le 28 septembre 2009. © Photo: Laurent Francini
Le village d'Archamps, entre Collonges-sous-Salève et Blecheins. J'ai grandi ici de 1960 à 1981. Au centre, la maison où habitaient mes grands-parents, au premier étage. Derrière, l'horrible blockhaus Raymond Fontaine, prétentieux et envahissant tas de béton qui fait office d'école. Lorsque j'ai quitté cet endroit, le charme y régnait encore sous forme de vieilles maisons, quartiers paysans et espaces verts. Désormais, grâce à une Municipalité plus soucieuse de satisfaire les passions démesurées des investisseurs que de conserver un cadre de vie humain, la constructivite aiguë fait rage de toutes parts. Archamps est mort, gangréné par le béton. De 400 habitants, il est passé à plus de 2000, sans qu'aucun commerce de proximité ne s'y soit installé (avril 2008). On y voit bien sûr beaucoup de plaques suisses, ceci expliquant cela... Il m'arrive encore d'aller m'y promener, mais à chaque fois je me dis que c'est la dernière fois... Photo prise le 23 avril 2008. © Photo: Laurent Francini
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